Pierre entend l’invitation de Jésus...
Mt 14, 22-33
Je ne connais pas bien la Bible, mais de ce que j’en connais aujourd’hui, les passages qui retiennent le plus mon attention sont dans le Nouveau Testament. La vie de Jésus et de ceux qui l’entourent constitue pour moi des exemples pour mener ma vie.
Dans ce que je connais de la Bible, il y a un passage que j’aime beaucoup : la marche de Jésus et de Pierre sur les eaux (). Je l’ai découvert il y a peu de temps et j’y repense régulièrement : c’est un texte qui me parle beaucoup.
Pierre entend l’invitation de Jésus et fait sans doute le pas le plus difficile en sortant de sa barque. Mais soudain, il quitte des yeux cet essentiel qu’est Jésus et se laisse absorber par la tempête qui l’entoure : il perd alors pied. Pourtant, dès qu’il appelle Jésus, celui-ci est toujours là, disponible.
Je ressemble beaucoup à Pierre dans la mesure où j’accorde difficilement ma confiance, dans la mesure où je fais beaucoup d’allers et retours entre ma barque et la tempête, dans la mesure où de nombreuses distractions me font perdre de vue l’essentiel et me rendent indisponible à Dieu et aux autres. Je me rends compte par ailleurs que dès que je me recentre sur ce Jésus qui me tend la main, j’avance plus sereine et plus aisément.
L’idéal serait pour moi de toujours avancer dans le tourbillon de la vie en tenant avec confiance la main de Jésus, cette main toujours disponible, qui appelle, qui apaise et qui aime ; cette main qui me permet à mon tour d’être disponible, d’appeler, d’apaiser et d’aimer ceux que je côtoie. Avec cette confiance et cet accueil tout simple de Dieu, de grandes choses sont possibles, soyons-en persuadés.
Professeur de lettres classiques à Guingamp, France
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- "Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime."
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Que ta volonté soit faite
- Allez, il vous précède en Galilée
- Viens !
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- La parabole du fils prodigue
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- Pierre entend l’invitation de Jésus...
- Demeurez en moi !
- Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.