Pourquoi un sacrement spécial pour les malades ?
Pour signifier et prolonger l’attention privilégiée portée par Jésus aux malades... et parce que ceux-ci ont bien besoin de ce sacrement du réconfort de Dieu !
La maladie, la maladie grave, « remet beaucoup de compteurs à zéro » : il faut réapprendre bien des choses. Les gestes les plus simples parfois. Et aussi la prière.
Alors qu’on aurait tout spécialement besoin de Dieu, on ne sait plus comment lui parler. C’est un risque pour la foi, l’espérance et la charité : la révolte est parfois proche, avec le repliement sur soi et sur ses malheurs, l’isolement dont on souffre et qu’on risque en même temps d’entretenir, le regard sur les autres plus difficilement bienveillant...
Mais cela peut être aussi un temps d’approfondissement, de redécouverte de la vraie valeur des choses, des personnes... On hésite évidemment à dire une chance, même si certains, à l’expérience, le disent très clairement.
Par le sacrement, les malades sont appelés et aidés à vivre dans la confiance le chemin parfois très rude qu’ils ont à parcourir.
Curé de Port Saint Nicolas
- Peut-on recevoir plusieurs fois l’onction des malades ?
- Peut-on conférer l’onction des malades à quelqu’un "qui n’a plus sa tête" ?
- Un ami m’a dit que sa belle-mère était morte dans une maison de retraite sans voir le prêtre. Et quand on a enfin réussi à joindre un prêtre, il n’a pas voulu se déplacer pour lui donner les derniers sacrements !
- En quoi consiste le rituel du sacrement de l’onction des malades ?
- A qui s’adresse le sacrement de l’onction des malades ?
- Quelle est l’origine du sacrement de l’onction des malades ?
- Faut-il se confesser avant de recevoir l’onction des malades ?
- Pourquoi un sacrement spécial pour les malades ?
- On ne parle plus guère de l’extrême-onction. Ça existe encore ?
- Qui peut célébrer le sacrement de l’onction des malades ?
- Qu’est-ce que l’onction des malades peut apporter de plus à celui qui reçoit déjà régulièrement la communion ?
- Faut-il préparer les malades à recevoir l’onction des malades ? Et si oui, comment ?