Et un sourire
La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l’affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie la vie à se partager.
Paul Eluard (Le Phénix, 1951)
Une faute d'orthographe, une erreur, un problème ?
Paul ELUARD
Poète (†1952).
Dans cette rubrique
- Aux Restos du Cœur
- Les murmures du vieux Noyer : consignes en cas d’épidémie…
- La joie (deuxième partie)
- Les sept chemins de François d’Assise
- Lettre de Bagdad
- Centrafrique, en avril 2014
- Lettre aux Rois Mages
- Un Noël en prison
- L’amour n’est pas tout fait
- Deux vœux
- La joie (troisième partie)
- Les babioles
- Alep : Il faut une prise de conscience immédiate
- Calais… enfin le bout du tunnel ?
- Les chemins ouverts par le Centre Pastoral Saint-Merry
- Être prêtre à Trabzon (Trébizonde) en Turquie
- Confinement
- Lettre ouverte aux évêques de France
- Lettre d’un prêtre catholique au New York Times
- Partage de Syrie
- Notre-Dame de Paris : « Si eux se taisent les pierres crieront. » (Luc 19, 40)
- Silence, ici on tue !
- Rendre nos églises ouvertes et accueillantes durant le confinement
- Église, je te bénis et je souffre
- Vous rappelez-vous de mon anniversaire ?
- Qui sait vraiment ce qui se cache derrière les murs de la psychiatrie ?
- Arrêtez-vous et sachez que je suis Dieu
- Démanteler ou construire ?
- Combien “gagne” monsieur le Curé ?
- Appel à nos frères de France
Publié: 01/11/2017