Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
Jn 20,11-16
L’histoire semble très triste.
Marie était folle amoureuse de Jésus et son amoureux est mort ! Et elle est là, bourrée d’amertume et de nostalgie. Il n’y a plus d’issue pour elle.
Puis... revirement de situation ! Tout d’abord ces deux anges qui l’interpellent puis Jésus qu’elle ne reconnaît pas d’abord et qu’elle traite même de voleur.
Puis le moment clé : Jésus l’appelle par son nom et Marie le reconnaît. Waouw ! C’est magnifique, on se demande quelle pouvait être l’intonation de Jésus lorsqu’il l’appelle « Marie » : gentiment moqueur (alors on ne me reconnaît plus ?) ou d’une tendresse infinie (ma p’tite Marie c’est bien moi !).
En tout cas j’aurais fondu en larmes à la place de Marie tellement cet appel a du être rempli de l’amour de Dieu.
Le pire, ou plutôt le meilleur, c’est que Jésus nous interpelle comme ça lorsque nous-mêmes sommes dans une impasse. Savons nous l’entendre parfois ? Tous ces gens qui nous aident et qui nous entourent lorsque les choses ne vont pas bien, c’est le visage de Jésus ressuscité.
Ce passage est rempli d’émotion. On se croirait dans le plus beau des romans. Un seul mot et tout change. C’est beau. Merci mon Dieu !
Musicien.
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- "Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime."
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Pierre entend l’invitation de Jésus...
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- Demeurez en moi !
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- La parabole du fils prodigue
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Que ta volonté soit faite
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Tout n’est pas de même intensité dans la Bible
- Allez, il vous précède en Galilée
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Viens !
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...