Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
Rm 8,39
Cette phrase de saint Paul, je l’ai épinglée au mur un peu comme le centre d’une cible, un point fragile et impénétrable, le cœur du mystère vers lequel tend toute une vie.
Je me méfie des discours faciles qui nous disent que Dieu est Amour et qui donnent l’illusion d’un amour sentimental. Cet amour de Dieu est tout autre mais comment le percevoir ?
« En Jésus Christ notre Seigneur » nous dit Paul. Cette phrase est pour moi une invitation à la contemplation. Contempler Jésus comme Christ et comme Seigneur à travers ce que nous savons de Lui dans le récit des évangiles. Contempler Jésus pour percevoir cet Amour.
Paul nous parle de la présence constante de cet Amour. Rien ne peut nous en séparer. Cet Amour est là, proche de nous, même si nous n’en n’avons pas conscience. Et Dieu sait si les circonstances de la vie nous font vivre dans l’inconscience de cette présence !
Croire, en particulier dans l’adversité ou quand les jours sont lourds à porter, croire que d’autres comme Paul ont expérimenté ce qui certains jours me semble incroyable.
Bénévole en milieu hospitalier psychiatrique, Bruxelles, Belgique
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Allez, il vous précède en Galilée
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Tout n’est pas de même intensité dans la Bible
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Demeurez en moi !
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Viens !
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- La parabole du fils prodigue
- Que ta volonté soit faite
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.