Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
Ac 5,38-39
Chaque fois que nous nous rencontrons entre baptisés, particulièrement aux heures de doute ou d’espérance fragile, nous pourrions échanger un "mot de passe" ! Je propose ton nom : "Gamaliel !"
Tu es un Juif très sage : les Actes des Apôtres nous disent que tu étais "respecté de tout le peuple" () ; sans t’en rendre compte, tu as dit la parole la plus géniale qui puisse être ! La situation était la suivante, tu t’en souviens : les apôtres, dans une ardeur apostolique qu’on ne leur connaissait pas, annonçaient au prix de tous les risques la résurrection de Jésus. Ils insupportaient au plus haut point un certain nombre de tes amis, responsables juifs, lesquels, nous dit l’Écriture, "frémissent de rage et projettent de faire mourir" ces nouveaux prédicateurs décidément trop gênants ! ()
C’est alors que toi, Gamaliel, tu leur dis cette parole d’or :
"Ne vous occupez pas de ces gens-là ; laissez-les. Car si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire…" ()
Merci Gamaliel ! Si tu savais comme je repense souvent à ta parole : il y a longtemps que notre Église aurait dû disparaître comme les sectes qui passent et pour cause : il y a dans nos communautés ce qui vient trop de nous : nos péchés, et particulièrement nos péchés de responsables. Ils sont sources de scandale. Ils nous humilient, nous fragilisent. Ils sont une aubaine pour ceux qui nous critiquent. Ils ne s’en privent pas.
Mais il y a aussi dans notre Église tout ce qui vient de Dieu par la sainteté parfaite de son Fils, et – grâce à lui – par la sainteté ordinaire et quotidienne de très nombreux baptisés : ils écoutent la Parole du Christ pour eux-mêmes avant de l’annoncer à d’autres ; ils l’annoncent d’ailleurs plus avec leur vie simple qu’avec des mots, ils se nourrissent des sacrements ; ils sont sources claires de solidarités et de pardons.
Depuis 2000 ans, les péchés qui viennent trop de nous s’affrontent à la sainteté qui vient aussi par nous grâce à Dieu ; et dans cette rencontre, c’est la sainteté qui finit par gagner ! Cher Gamaliel, tu l’avais bien compris ! Merci Gamaliel !
Archevêque de Cambrai († 2018).
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- Allez, il vous précède en Galilée
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- "Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime."
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Pierre entend l’invitation de Jésus...
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- La parabole du fils prodigue
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- Demeurez en moi !
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- Que ta volonté soit faite
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Tout n’est pas de même intensité dans la Bible
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !