Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller
Un texte hawaïen, pour le départ d’un proche
Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller,
même s’il me restait encore des choses à voir et à faire.
Ma route ne s’arrête pas ici.
Ne vous attachez pas à moi à travers vos larmes.
Soyez heureux de toutes les années passées ensemble.
Je vous ai donné mon amour,
et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous m’avez apporté.
Je vous remercie pour l’amour que vous m’avez témoigné
mais il est temps maintenant que je poursuive ma route.
Pleurez-moi quelque temps, si pleurer il vous faut.
Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie,
car c’est pour un moment seulement que nous nous séparons
Bénissez donc les souvenirs qui sont dans votre cœur.
Je ne serai pas très loin, car la vie se poursuit.
Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai
même si vous ne pouvez me voir ou me toucher.
Je serai près de vous.
Et si vous écoutez avec votre cœur,
vous percevrez tout mon amour autour de vous dans sa douceur et sa clarté.
Et puis, quand vous viendrez à votre tour par ici,
je vous accueillerai avec le sourire
et je vous dirai : « Bienvenue chez nous. »
- Maintenant que je suis parti, laissez-moi aller
- La mort n’est-elle rien ?
- Soins palliatifs entre hier et aujourd’hui
- Face au suicide : "Pour que s’ouvrent des sentiers d’espoir"
- Le suicide
- L’incinération : qu’en penser ?
- Accueille en ta tendresse
- L’aide à mourir ne sera jamais un signe de fraternité
- La mort : impasse ou passage ?
- Accompagner chrétiennement un deuil
- Nous sommes en deuil
- Au Nom de Dieu ?
- Y a-t-il une vie après la naissance ?
- Journée de prière pour les défunts
- La sédation et les marchands de sable
- La mort
- Aux frontières de la vie et de la mort
- Une parole autour de la mort ordinaire