Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
Lc 4,18
J’aime ces paroles, porteuses de vie, de lumière, de libération. Elles nous annoncent tout un programme. Pas une leçon de morale, mais une Bonne Nouvelle pour tous ceux qui se sentent faibles et désavantagés. Et une invitation à changer de regard.
Paroles d’espoir : un rayon de lumière dans l’obscurité des prisons et de la misère. Elles me rappellent que, malgré toutes les déceptions que je peux connaître, rien n’est jamais entièrement perdu. Que Dieu ne me demande pas des exploits mais, au contraire, qu’il aime le pauvre en moi et qu’il peut me libérer de mes aveuglements, de mes prisons, de tout ce qui m’opprime.
Paroles subversives, qui renversent les priorités de notre monde de compétitivité et de la loi du plus fort ; qui annoncent qu’un autre monde est possible, où les puissants n’ont pas le dernier mot, où la dignité de chaque être humain est respectée, où la justice s’applique à tous.
Paroles dynamiques, qui nous envoient participer à l’aventure de cette Bonne Nouvelle, vers nos frères et sœurs dépossédés, enchaînés, torturés ; qui nous invitent, à notre tour, à libérer, à redonner la vue, à nous engager en faveur de la justice.
Paroles d’actualité, et non pour un avenir lointain. Jésus conclut sa lecture de ce texte d’Isaïe ainsi : « Cette parole, c’est aujourd’hui qu’elle s’accomplit. »
- Tout n’est pas de même intensité dans la Bible
- Viens !
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Allez, il vous précède en Galilée
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.
- Ils se montraient assidus à l’enseignement des apôtres, fidèles à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. - On t’a fait savoir, homme, ce qui est bien, ce que Yahvé réclame de toi : rien d’autre que d’accomplir la justice, d’aimer la bonté et de marcher humblement avec ton Dieu.
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent ni ne recueillent en des greniers, et votre Père céleste les nourrit ! Ne valez-vous pas plus qu’eux ?
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- Et remets-nous nos péchés, car nous-mêmes remettons à quiconque nous doit ; et ne nous laisse pas entrer en tentation.
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- "Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime."
- Observez les lis des champs, comme ils poussent : ils ne peinent ni ne filent. Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux.
- Et voici que, ce même jour, deux d’entre eux faisaient route vers un village du nom d’Emmaüs, distant de Jérusalem de 60 stades.
- La parabole du fils prodigue
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- Demeurez en moi !
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Pierre entend l’invitation de Jésus...
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Que ta volonté soit faite