Communion solennelle
Ça a le côté festif d’un sacrement (tous les membres de la famille, même les plus mécréants ou indifférents à la religion, sont invités à la grande bouffe qui va suivre la messe, et se feront d’ailleurs un devoir d’offrir un cadeau au héros du jour)... ça a la couleur d’un sacrement (le cierge et la fameuse aube que les parents réclament pour leur progéniture)... ça a les apparences d’un sacrement... mais ça n’en est pas un !
Tout au plus s’agit-il d’un rite de passage très populaire dans certaines paroisses de France, entre la « première communion de l’enfance » (affreusement qualifiée de « petite communion » ou « communion privée ») et la Confirmation proposée à l’âge de l’adolescence.
Les ambiguïtés de cette cérémonie, même lorsqu’on la nomme plutôt « profession de foi » peuvent ainsi se résumer : on fait une retraite avant... on mitraille de photos pendant... on cesse le catéchisme et la pratique religieuse après !

Le plus vieux marin de Port Saint Nicolas.
- Tabernacle
- Grenouille de bénitier
- Jubilé
- Fondamentalisme
- Vénérable
- Chair
- Homophobie
- Holocauste
- Soins palliatifs
- Année sainte
- Imprimatur
- Clerc
- Paix
- Béatitudes
- Aumônier
- Noël
- Chanoine
- Intinction
- Prophète
- Charismatique
- Résurrection
- Géhenne
- Limbes
- Custode
- Mort
- Loi de gradualité
- Prêtre modérateur
- Tombeau vide
- Obéissance
- Absoute