Règle d’or
Tb 4,15
Mt 7,12
Lc 6,31
Lv 19,18
Mt 19,19
Mt 22,39
Rm 13,9
Ga 5,14
Jc 2,8
Ainsi a-t-on pris l’habitude d’appeler le principe de base de toute morale que l’on trouve formulé sous forme négative dans l’Ancien Testament - « Ce que tu n’aimes pas, ne le fais à personne » (Tb 4,15) - et, sous une forme positive plus exigeante, dans le Nouveau Testament : « Tout ce que vous voudriez que vous fassent les hommes, faites-le pour eux » (Mt 7,12 ; Lc 6,31).
Jésus présente même ce principe comme le résumé de tout l’enseignement moral des écritures : « Ceci est la loi et les prophètes » (Mt 7,12).
On notera que, pour fonctionner comme repère utile au discernement éthique, cette règle d’or, acceptée par les moralistes croyants et incroyants, suppose évidemment une juste estime de soi. « Celui qui ne s’aime pas ne saurait respecter les autres. S’il ne se veut pas du bien, il est incapable d’en faire aux autres. » (Jean-Louis Bruguès, Dictionnaire de théologie morale, Éditions C.L.D., 1991). Cette règle d’or n’est, on le voit, qu’une application de l’impératif biblique : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » (Lv 19,18 ; Mt 19,19 ; 22,39 ; Rm 13,9 ; Ga 5,14 ; Jc 2,8)
Le plus vieux marin de Port Saint Nicolas.
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