Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
Gn 22,1-19
J’ai choisi pour texte le sacrifice d’Abraham (). En effet, c’est un texte qui m’a longtemps rebutée, voire révoltée. Que Dieu ose demander à Abraham le sacrifice de son fils unique et lui laisser croire, jusqu’à l’ultime minute, qu’il va devoir le sacrifier, c’est, au premier abord, inacceptable, au point que la maman que je suis, estimait ce texte inepte (désolée du peu !).
Un jour, ce texte me fut expliqué. Appel du Seigneur à Abraham ; de là, demande incroyable, inacceptable du Seigneur, mais qu’Abraham, serviteur fidèle, confiant, accepte. Calmement et courageusement, il prépare le travail, prend la route et prépare le sacrifice. Pourtant, il aime son fils : « Mon père ! » dit Isaac. « Oui, mon fils ! », répond Abraham. Tendre échange entre un fils et son père. Plus loin : « Ils s’en allèrent tous deux ensemble. »
En fait, Abraham va jusqu’au bout de ce que lui demande son Seigneur. Il lui fait pleinement confiance, y compris dans le drame. Sa confiance est récompensée au-delà de ses espoirs et de ses attentes. Non seulement son fils unique lui est laissé, mais il sera comblé de bénédictions ; sa postérité sera nombreuse ; par cette postérité seront bénies toutes les nations de la terre.
Le texte se termine paisiblement : « Abraham résida à Bersabée. »
Confiance, amour du Seigneur ; sainteté d’Abraham jusqu’au sacrifice. Voilà une leçon de vie avec le Seigneur, à goûter, méditer, expérimenter, en gardant à l’esprit notre père Abraham pour mieux découvrir la confiance en le Seigneur, ses demandes au-delà de nos forces et son soutien pour y répondre au-delà aussi de ces forces.
Recteur de l’Université catholique de Lille (2003-juin 2012).
- Pierre, m’aimes-tu ?
- Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.
- Vous donc, priez ainsi : Notre Père qui es dans les cieux, que ton Nom soit sanctifié...
- Je suis la servante du Seigneur ; qu’il m’advienne selon ta parole !
- "Car tu comptes beaucoup à mes yeux, tu as du prix et je t’aime."
- Qui n’accueille pas le Royaume de Dieu comme un enfant n’y entrera pas
- Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté
- Que ta volonté soit faite
- Le connaître, Lui, et la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances, lui devenir conforme dans la mort afin de parvenir si possible à ressusciter d’entre les morts.
- Tandis qu’il était encore loin, son père l’aperçut et fut pris de pitié ; il courut se jeter à son cou et l’embrassa tendrement.
- Tout n’est pas de même intensité dans la Bible
- Viens !
- A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres.
- Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
- Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur.
- Parce que tu as fait cela, que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions.
- Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis.
- Je ne t’oublierai jamais... Mon amour ne s’éloignera point de toi.
- Allez donc : de toutes les nations faites des disciples...
- Une femme vint, avec un flacon d’albâtre contenant un nard pur de grand prix. Brisant le flacon, elle le lui versa sur la tête.
- La parabole du fils prodigue
- Parmi les dons de Dieu ... s’il me manque l’amour...
- Demeurez en moi !
- Si leur entreprise ou leur œuvre vient des hommes, elle se détruira d’elle-même ; mais si vraiment elle vient de Dieu, vous n’arriverez pas à les détruire.
- Dieu, en effet, a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
- Le Seigneur Dieu modela l’homme avec de la poussière prise du sol. Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant.
- Jésus lui dit : "Marie !" Se retournant, elle lui dit en hébreu : "Rabbouni" - ce qui veut dire : "Maître."
- J’étais bouvier et je cultivais les sycomores.
- J’ai compassion de qui j’ai compassion, et je fais miséricorde à qui je fais miséricorde.
- Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus Christ notre Seigneur.

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